Les pensées de Pierre Laffitte

Pierre Laffitte est vraiment un philosophe français, le plus proche disciple du philosophe Auguste Comte, qui a enseigné au sein de sa doctrine du positivisme que seules les informations établies par les voies des sciences empiriques s’appliquent. À la mort de Comte en 1857, Laffitte, qui avait été l’un de ses exécuteurs testamentaires, devint cerveau du Comité positiviste. Il a été professeur salarié de la formation générale de la recherche scientifique au Collège de France en 1892. Ses fonctions consistent en Leçons de cosmographie (1853 ; « Lectures on Cosmography »), Cours philosophique sur l’histoire générale de l’humanité (1859 ; « Philosophic Program around the Basic Background of Man »), Considérations générales sur l’ensemble de la civilisation chinoise (1861), Les Grands types de l’humanité (1874 ; « The Excellent Icons of Man »), De los angeles moral good (1880 ; « De l’éthique positiviste »), et Le « Faust » de Goethe (1899 ; « Le « Faust » de Goethe »). Autour du degré le plus facile, la science est la connaissance du monde entier de mère nature. Il existe de nombreuses régularités par nature que l’humanité a dû reconnaître pour réussir, car l’apparition d’Homo sapiens est une espèce. La lumière du soleil ainsi que la Lune reproduisent parfois leurs mouvements. Certains mouvements, comme le « mouvement » quotidien de la lumière du soleil, sont simples à observer, tandis que d’autres, comme le « mouvement » annuel de la lumière du soleil, sont beaucoup plus difficiles. Chaque mouvement est en corrélation avec les événements terrestres essentiels. Le jour et la nuit fournissent le rythme fondamental de l’existence de l’être humain. Les saisons déterminent la migration des créatures dont les gens dépendent depuis des millénaires pour réussir. Avec l’invention de l’agriculture, les mois sont devenus beaucoup plus vitaux, ne pas reconnaître le bon moment pour planter pourrait conduire à la famine. La science identifiée comme la connaissance des processus naturels est universelle parmi l’humanité, et elle existe depuis l’aube du mode de vie de l’être humain. La simple reconnaissance des régularités n’épuisera cependant pas tout le sens de la science. Pour commencer, les régularités pourraient n’être que des constructions de l’esprit humain. Les humains sautent aux découvertes. L’esprit n’est pas capable de tolérer le chaos, il construit donc des régularités même si aucune n’existe objectivement. Par conséquent, par exemple, parmi les « lois » astronomiques des groupes du Moyen Âge, l’apparence des comètes présageait un grand bouleversement, car la conquête normande de la Grande-Bretagne a suivi la comète de 1066. Les vraies régularités doivent être établies par un examen libre des informations. La recherche scientifique devrait donc engager un certain degré de scepticisme pour éviter une généralisation précoce. Les régularités, même exprimées mathématiquement comme des régulations de la nature, ne sont pas complètement satisfaisantes pour tout le monde. Certains insistent sur le fait que la connaissance authentique a besoin d’explications sur les causes des lois, mais c’est dans l’arène de la causalité que vous avez le plus de désaccord. Les techniciens quantiques contemporains, par exemple, ont abandonné la poursuite de la causalité reposant désormais uniquement sur la description numérique. La biologie contemporaine, d’autre part, se nourrit de réserves causales qui permettent la connaissance des processus physiques et évolutifs en ce qui concerne les activités physiques d’entités telles que les molécules, le matériel cellulaire et les micro-organismes. Mais même lorsque la causalité et la description sont reconnues comme essentielles, il y a peu d’accord sur les types de déclencheurs qui sont admissibles, ou réalisables, dans la recherche scientifique. Si l’histoire des sciences devait faire quelque perception que ce soit, il est essentiel de traiter le passé à ses propres conditions, et la réalité est que pour la plupart de l’histoire des sciences, les philosophes naturels ont fait appel à des déclencheurs qui seraient sommairement rejetés par les chercheurs modernes. . Les forces spirituelles et divines avaient été approuvées comme étant chacune réelles et essentielles jusqu’à la fin du 18ème siècle et, dans des endroits comme la biologie, fortes jusqu’au 19ème siècle aussi. Certaines conférences contrôlaient l’appel au seigneur ou même aux dieux ou encore aux esprits. Les dieux et l’humeur, a-t-on soutenu, ne pouvaient pas être complètement arbitraires dans leurs actions. Ou bien, la réaction appropriée serait la propitiation, pas l’investigation logique. Mais, parce que la divinité ou les divinités avaient été elles-mêmes rationnelles ou liées par des principes rationnels, il avait été possible pour les gens de découvrir l’ordre logique du monde. La croyance en la plus grande rationalité du créateur ou du gouverneur du monde pourrait en fait induire des travaux scientifiques originaux. Les lois de Kepler, la chambre totale de Newton et le rejet par Einstein de la nature probabiliste de la mécanique quantique étaient tous basés sur des hypothèses théologiques et non scientifiques. Pour les interprètes délicats des phénomènes, la meilleure intelligibilité de la nature a semblé nécessiter un état d’esprit rationnel. Un concept important de ce concept est la déclaration d’Einstein selon laquelle la merveille ne sera pas que l’humanité comprenne le monde, mais que le monde soit compréhensible.

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